Standard Operating Procedure, un documentaire percutant sur la prison d’Abu Ghraïb réalisé par Errol Morris qui gagnera un Silver Berlin Bear voit tout d’abord le jour en Allemagne dès le début Février en 2008. Distribué par Sony Pictures Classics ainsi que Participant Media, le documentaire nous dévoile d’une façon crue, la réalité des prisonniers irakiens.

Le producteur Errol Morris détenteur d’un Oscar, on ne pouvait qu’attendre de film, un autre documentaire réussi. Avec The thin blue line, en 1989 et de The Fog of War, en 2003 , on ne se voit pas dépaysée par l’atmosphère de guerre, de la torture et du gouvernement. Standard Operating Procedure nous présente la prison d’Abu Ghraïb et ses prisonniers ainsi que des soldats américains.

Tout au long du film, on peut apercevoir les sévices que les détenus se voient infligés. Pour la plupart, enfermé sans raisons, les hommes séquestrés sont tenus en position de stress afin d’obtenir certaines informations. Leur torture ne s’arrête pas là : en plus d’être attachés et nus, ils portaient leur sous-vêtements sur la tête et on allait jusqu’à les faire ramper sur le sol, une laisse au cou.

La narration du film, est constituée pour la majorité de ces mêmes soldats américains qui ont vécu à Abu Ghraïb durant la période de guerre. Aujourd’hui condamnés à plusieurs différentes sentences, ils témoignent de leur expérience et de leur opinion sur la situation. En plus d’explications des militaires en fonction, on voit plusieurs séries de photos que certain d’entre eux ont pris lors de ces «activités».

C’est grâce ces photos, que le gouvernement à découvert la troublante vérité. Avec ce scandale, les américains ont vu leur réputation se ternir en un instant. Même avec la cruauté de leurs actions et le recul de leur séjour en prison, certains sous-officiers n’ont pas vu comment ils auraient pu agir différemment et ne vivent avec aucun remords…

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Qui dit neige, dit gros manteau peu flatteur et vieilles bottes. Mais les designers de mode ont bien pensé à nous en offrant une grande variété d’accessoires d’hiver plutôt à la mode. BBT : bonnet, bérets, tuques, une formule gagnante. De toutes les couleurs et sous toutes les formes, il y en a pour tous les goûts! Vous ne pourrez vous tromper avec l’un des trois. Le grand avantage, en plus d’avoir du style, c’est qu’il cache les cheveux quand ils ne sont pas sous leur meilleur jour! Donc les filles et je dirais les mecs aussi, n’hésitez pas à vous couvrir la tête en cette froide saison, mais toujours avec style!

Les filles, vous aimerez surement savoir les tendances qui nous attendent en 2009. Et bien voici un court aperçu de ce qui nous attend l’année prochaine. La ceinture fine est de retour et en force. Plus la ceinture est fine, plus elle amincit. Il est important, cependant, de bien savoir l’agencé, et de la porter au niveau de la taille et non pas au niveau des hanches! Les robes des années 80 ont été revues et améliorées, mais on reste dans le même style, quand même. Ne voyez pas surpris de voir dans les vitrines, dès maintenant, les robes bustiers. Très ajustée en haut, et dansante vers le bas, on pourra la voir, simple, imprimés ou à motifs. Le vintage, depuis quelques temps, est bien à la mode, on aime revêtir le linge de nos mères, voire même de nos pères. Profitez s’en pour faire un peu de récupération pendant que c’est encore in. Le style vestimentaire des années 50 est plus que hot cette saison. Les jupes crayons en-dessous du genou, et le trench-coat sont les incontournables! La devise officielle de la saison: soyez classe, féminine et subtilement sexy. Pour les gars, l’incontournable de l’hiver 2008 : La bottine. Pour un look class ou plus décontracté, la bottine est la chaussure idéale. En plus de nous gardez plus au chaud que vous habituels running shoes, elle permet de cacher vos chaussettes blanches! Cependant, elle ne peut être portée avec n’importe quel pantalon. Si la bottine est assez basses et classiques, opté pour un pantalon de costume. Si, à l’inverse, votre bottine est plutôt montantes, décontractée et ornée de lacets, opté pour un jean slim. En plus, ce jeune designer québécois François Legendre a réinventé la chemise masculine. Il a songé au concept d’un chemisier pour homme. Intemporels, ses modèles se distinguent des chemises sur plusieurs points. Ils se portent sans cravate. La coupe du col et le boutonnage sont particulièrement bien travaillés. Ils sont plus courts et sont conçus pour se porter par-dessus le pantalon. Ils épousent ainsi parfaitement les courbes du torse. Les vêtements de François Legendre se caractérisent également par la qualité des finitions et des matières. François Legendre résume sa collection en trois lignes :   « Classique », « Trendy », « Glamour ». Osé!

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Le célèbre rappeur, Kanye West a lancé, le 24 novembre dernier, son quatrième album. La sortie original devait avoir lieu le 16 décembre, mais ils ont décidé de prématurer le lancement afin d’augmenter les ventes, vu le temps des fêtes. Il déclare cet album comme lui étant thérapeutique. Il exprime les sentiments qu’il ressent encore aujourd’hui face à la solitude que l’on sent lorsqu’on est au top. Il exprime également la peine et une différente solitude qu’il vit depuis qu’il a tragiquement perdu sa mère Donda. En effet, le 10 novembre 2007, madame West est décédée du à des complications d’une intervention chirurgicale. Plusieurs mois après cet incident, Kanye se sépare de sa fiancée de l’époque Alexis Phifer. C’est tous ces événements qui ont créés le concept de l’album 808’s Heartbreak. L’album a été enregistré en moins de deux semaines, à Hawaii. Dans cette compilation, Kanye West trouvait important de ne pas utiliser des rythmes typiquement hip-hop, mais plutôt vers les percussions tribales. Il joue beaucoup avec Auto-Tune pour changer sa voix. West classe lui-même son album comme étant pop et non hip-hop. Il déclare s’agit d’un « pop art » comme il le nomme, et il souhaite qu’il en devienne un nouveau genre musical. Après son lancement, l’album se hisse au premier rang du Billboard 200 et #1 sur iTunes. Malgré ce bon départ, plusieurs critiques prédiquent une vente moindre que ces albums précédents. L’artiste répond que les profits des ventes ne lui importent peu, car il est très satisfait du produit final. L’opinion des personnes quant à leur appréciation de 808’s Heartbreak est extrêmement partagé : si un adore, l’autre déteste. On doit tout de même constater que cet album ne ressemble pas au Kanye West que l’on a l’habitude d’entendre : on perçoit un côté plus vulnérable, plus humain à cet artiste confiant, pour ne pas dire arrogant. Malgré le fait qu’il montre un autre côté de lui, il n’a pas perdu son opinion. En effet, récemment il a comparé Beyonce comme étant une vraie légende, voire même meilleure que Tina Turner. Après le lancement, Kanye prévoit déjà un cinquième album, qui sortira en juin prochain qui s’intitulera « Good Ass Job », et veux se concentrer sur la nouvelle ligne de vêtements « Past Tell » qu’il désire mettre sur le marché et a déclaré récemment qu’il suivrait un stage chez nul autre que Louis Vuitton. Il prévoit emménager à Paris pour quelques temps en vu de ce stage, tant attendu de sa part, je l’espère!

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Heidi Montag et Spencer Pratt se sont mariés le 20 novembre dernier. Il s’agissait d’un mariage assez secret même si la sœur du jeune marié était au courant. Elle se dit très contente de la tournure des évènements. Elle a hâte qu’ils reviennent de leur voyage pour pouvoir célébrer avec eux, la nouvelle. En effet, les deux jeunes tourtereaux ont opté pour le Mexique pour officialiser leur amour. La nouvelle mariée dit avoir défié sa mère et qu’elle s’est enfui pour se marier. On peut voir le jeune couple depuis plus de trois ans sur les ondes de MTV à l’émission très populaire The Hills. Lors du 4^e gala annuel « Road to a cure », qui a eu lieu au Hyatt Regency de Century Plaza en Californie, le couple n’a pas arrêté d’afficher leur amour en s’embrassant et en exhibant leurs joyaux. Depuis que la nouvelle est sortie, plusieurs doutent de la véracité de cette liaison. On dit qu’il s’agirait un coup de publicité, d’un coup monté. Cette supposition est validé par le fait que le producteur de la série télévisée The Hills nous annonce que le mariage de Heidi Montag et Spencer Pratt occupera une grande partie de la cinquième saison de cette émission. D’autres disent que le mariage n’est même pas valide... c’est à suivre!

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En Arizona, aux États-Unis, un jeune garçon de huit ans se voit soupçonné d’avoir tué son propre père âgé de 29 ans ainsi qu’un autre homme, Timothy Romans, 39 ans. Ce dernier était locataire dans la maison familiale. En effet, ce petit bonhomme serait entré dans sa maison et aurait aperçu son père, étendu sur le sol. En effet, la première version des événements, nous dit que le garçon serait rentré chez lui et aurais vu, gisant sur le sol, les défunts corps des victimes. Tout le monde croyait qu’il était la personne les découvrait, au pire, qu’il était témoin de la scène de crime, mais jamais on aurait cru qu’il était l’assassin. Il avoue avoir tiré dans sa direction, et plusieurs fois après, car il continuait à bouger, et qu’il voulait cesser la souffrance. La version du petit a changé au cours de l’interrogatoire, qui a duré plus de 36 minutes. Au début, il déni tout, mais avec l’insistance de du shérif du Comté d’Apache, Matrese Avila, le jeune garçon avoue tout. La vidéo de l’interrogatoire à été rendu public mercredi dernier. Plusieurs croient qu’il n’est pas réellement l’assassin et qu’il aurait avoué les crimes qu’il n’aurait jamais commis. On a appris par la suite, que le père du criminel, lui aurait enseigné le maniement d’armes à feu. Après cette révélation, le fait qu’il soit le responsable de ce double meurtre, semble un peu plus plausible. Selon les dits, Les relations de la famille de St-John’s étaient stables, aucuns abus ni de violences. Les motifs de ces crimes restent donc assez vagues.

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Le monde selon Monsanto est un documentaire réalisé par Marie-Monique Robin, sorti en France au mois de mars 2008 en coproduction avec ARTE France, Productions Thalie, ONF du Canada, Image et Compagnie, WDR. Dans le film, on y voit sa réalisatrice mener une enquête sur le géant de l’agriculture Monsanto. Un documentaire vrai et révélateur sur l’entreprise et les organismes génétiquement modifiés.

Encore une fois, Marie-Monique Robin réalise un film informatif et dénonciateur. On se rappelle de ces premiers films Escadrons de la mort : L’école française et Voleurs d’yeux pour lequel elle a remporté le prix Albert Londres en 1995. Donc, on ne s’étonne pas du mordant de ce dernier documentaire. Effectivement, elle mène l’enquête sur l’entreprise Monsanto. Elle dit avoir fait un long métrage sur ce dernier, car ces recherches précédentes sur la biodiversité l’a ramenaient toujours à cette firme.

Dans Le monde selon Monsanto, on voit Marie-Monique Robin à son ordinateur tapant « Monsanto » sur un moteur de recherche. Ensuite, elle précise ses recherches pour tomber sur des articles plutôt controversés sur cette même entreprise. Elle dit avoir fait plusieurs mois de recherches pour ensuite être allée sur le terrain afin d’approfondir les résultats de ses études.

Elle va rencontrer les gens dont elle veut retirer de l’information. Elle se rend aux États-Unis, au Mexique et en Inde où elle voit sur place ce qu’elle a lu sur son ordinateur. On décèle dans le film, la véracité des propos qu’elle tient, on voit la réalité des gens qui sont sous le contrôle de Monsanto. En Inde, on dit d’un agriculteur se suicide à tous les huit heures. Elle se rend en Inde et on peut y voit une cérémonie honorant un jeune producteur de coton BT de 25 ans qui, du à une mauvaise récolte, décida de se suicider en buvant plus d’un litre de pesticides.

Au Mexique, on y découvre des familles et des instituteurs expliquant à leurs élèves que Monsanto déforme leurs plantations de maïs et deviennent des mutants. Il dénonce l’entreprise et la tient coupable du fait qu’elle détruit leurs récoltes.

Décidément, la réalisatrice tente de nous faire réagir avec des images fortes et des arguments de fer. Nous imposant des scènes aussi crues, elle tente de conscientiser les gens aux organismes génétiquement modifiés et d’aller voir si les propos tenus par la firme numéro un des OGM sont véridiques.

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Ce vendredi 21 novembre dernier, le film tant attendu Twilight pris l’affiche dans tous bons cinémas. Ce film réalisé par Catherine Hardwicke, gagnante de six prix, est une adaptation du premier des quatre romans best-sellers de Stephanie Meyer. Une histoire divisé en quatre tomes; Fascination, Tentation, Hésitation et Révélation. Personnellement, j’ai bien aimé l’histoire scénarisé par Melissa Rosenberg, mais la réalisation laisse plutôt à désirer. On peut déceler assez rapidement le manque de budget, soit de 38 millions, qui affectent beaucoup les effets spéciaux du long-métrage. Sur le site de IMDb (The Internet Movie Database), les blogueurs on attribués une maigre note de 5.3 sur 10 à l’adaptation cinématographique. Malgré cette décevante moyenne, on ne doute que les très nombreux fans des romans seront au rendez-vous. À Montréal, ceux qui ont vu le film lui accorde une note de 9.4 sur 10, une note beaucoup plus généreuse que celle de IMDb. Robert Pattinson, qui joue le rôle du charmant Edward Cullen a vu sa popularité grimper en flèche depuis ces derniers mois. On peut déjà prévoir un beau succès au box-office, récoltant 35.7 millions, seulement vendredi.

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Lors de leur dernier match, les Devils se sont qualifiés, et pourront de ce fait, jouer pour se rapprocher de la coupe Manson. Leur première partie dans les play-offs se déroula dans leur propre terrain, au parc Cartier, le samedi 25 octobre. Ils affrontaient les Stallions de St-Lazare, qu’ils avaient rencontrés un peu plus tôt dans la saison. On se souvient d’une belle joute entre les deux équipes. On pouvait s’attendre à une autre chaude lutte en quart de finale. Cependant, une désagréable surprise attendait les deux équipes. Effectivement, dès l’aube de la journée décisive, une pluie abondante recouvrait la grande surface de la métropole. Pour tous ceux qui ont déjà visité le terrain du parc Cartier comprendront le désespoir dans les yeux de nos diables. En début d’après-midi, on pouvait observer plusieurs petits lacs qui s’étaient formés au contour et au centre du terrain qui était déjà dans une médiocre condition. Malgré ce léger obstacle, les Devils, têtes hautes et remplis de confiance, se sont tous présentés sur le terrain afin de participer à leur échauffement habituel. À 7h, le botté d’envoi à eu lieu et on a voir plusieurs joueurs perdent pieds, glissant sur le terrain vaseux et boueux. Du haut des estrades, dans la petite cabine à l’abri de la mauvaise température, j’ai filmé et observé la game. Malgré les obstacles évidents mis sur le chemin de nos Devils, plusieurs joueurs ont su se démarquer. L’ancien quart-arrière converti en joueur défensif, Sébastien Gaudelli a su être au bon endroit en bon moment afin d’envoyer un joueur, nager dans la mare d’eau boueuse aux rebords du terrain.  Angelo Garofalo, porteur de ballon et un des joueurs vedettes de l’équipe de Pont-Viau, a su, comme souvent, sauvé son équipe en marquant deux touchés. Un field goal réalisé par Vincent Lauzon, a mis fin à l’égalité qui régnait depuis le deuxième quart. La partie se termina par une victoire, ma foi, fort salissante, de la part de nos Devils de 17 contre 15.

Grâce à leur victoire de la semaine dernière, les Devils se sont rendus à Ottawa, au Nepean Sportsplex pour affronter les Juniors Riders au lendemain de l’Halloween, soit le 1^er novembre. Nos diables ont du se réveiller tôt le matin, à huit heures plus précisément, pour se rencontrer au parc Cartier afin que toute l’équipe se rendent à la province voisine, en autobus voyageur. Dans l’autobus, la bonne humeur se sentait et nous pouvions déceler une certaine confiance même si nos joueurs savaient qu’ils affronteraient la meilleure équipe de la ligue dans les heures qui suivaient. Ils gardèrent leur focus tout au long du trajet en visionnant plusieurs extraits de films pour se mettre dans l’ambiance. On a pu deviner rapidement qu’il s’agissait de leur film préféré, car tous en cœur, nous pouvions les attendre crier les citations célèbres des longs métrages et associé les personnages avec leurs coéquipiers.  The Program, un film datant de 1993, mettant en scène Craig Scheffer, un film culte de football où l’on peut se rappeler de la célèbre scène où Steve Lattimer commence à fracasser des vitres d’automobiles avec sa tête après avoir appris qu’il faisait parti des special teams de l’équipe de football de son équipe. Nos joueurs, connaissant les répliques par cœur, se sont écriés « Starting Defense! Place at the table ». Rocky IV, Pumpin’ Iron, Bloodsport fut les autres films qu’ils visionnèrent durant leur trajet. Arrivés à destination, un froid contrasté par un réchauffant soleil nous attendait à Ottawa. Nos diables mangèrent et se préparèrent pour leur partie qui débutait à deux heures de l’après-midi. Dès le premier quart, plusieurs joueurs se sont blessés dont un de l’équipe adverse qui a subi une commotion cérébrale assez importante qu’il resta planter au sol une vingtaine de minutes. Une ambulance vint le chercher et le match continua sur cette même note. Un de nos joueurs, Markenson Laguerre a failli connaître le même sort que le rudement blessé qui le précédait, mais eu beaucoup de chance et se releva après quelques brèves minutes. Un de nos joueurs eu malheureusement moins de chance que Markenson. Effectivement, Sébastien Gaudelli, allant pour plaquer, glissant sur le terrain synthétique et se fit une sévère entorse à la cheville. Ce dernier du se rendre, à contre cœur, sur le banc des joueurs et du y rester pour le reste de la game. Le reste de la partie se déroulèrent dans une incohérence impressionnante. De mauvais jeux venant des deux équipes se multipliaient, mais nous avons pu observer une remontée de nos Devils dans la deuxième demie. Érik Bergeron fit une belle interception et Simon Locas inscrit un premier touché à sa fiche de statistiques. En dépit de leur belle remontée, elle n’était suffisante pour atteindre l’égalité et nos diables durent s’incliner 20-8 cédant la place aux Juniors Riders à la finale contre les Raiders de Châteauguay.

Après la partie, toute l’équipe : joueurs, entraîneurs, thérapeutes, partisans, se sont réunis en cercle. Les entraîneurs dirent un mot comme à chaque fin de partie, mais celui-ci démontrait une certaine émotion, un trémolo dans la voix des orateurs. Des félicitations et remerciements, voilà ce qui était dans les discours. Il s’agissait, pour plusieurs, de leur dernière saison au sein des Devils de Laval. Après une belle année, remplis d’émotions et de fierté, nos joueurs ont une certaine difficulté à laisser partir, vu l’attachement qui c’était crée au cours de la saison. Une grande famille avait vu le jour. Dans les vétérans qui nous quittent cette année, on y retrouve plusieurs de nos joueurs vedettes : Angelo Garofalo, Erik Bergeron, Sébastien Gaudelli, Simon Locas, Pascal Drolet Dave et Dany Lavallée. Dans le trajet du retour, nos joueurs avaient le cœur à la fête. Ils célébraient déjà dans l’autobus et arrivés au Parc Cartier, l’émotion était indéniable. On but aux Devils et à la magnifique saison qu’ils nous ont fait vivre.

Il n’y a pas que des joueurs qui nous quittent cette année, mais toute l’administration, qui était présente depuis cinq ans, va se voir remplacer dès la saison prochaine. Donc, pour la saison 2009 des Devils de Laval, nous pouvons s’attendre à une équipe jeune, mais toujours aussi dynamique et remplie de potentiel. Ce samedi, le 22 novembre eu lieu le banquet annuel de la ligue junior de football du Québec, où l’on voit les joueurs méritants recevoir des titres.

Le 6 décembre prochain a lieu le party des Devils au restaurant Le Mirage de Laval. Il s’agit d’un dernier rendez-vous que la cohorte 2008 se donne.

Mais ce n’est qu’un au revoir pour certains.

Au camp de formation au mois de mai prochain!

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Après plusieurs semaines de campagne publicitaire, de je-suis-meilleur-que-l’autre, le Québec tout entier et le reste des provinces canadiennes ont voté, mardi le 14 octobre pour savoir qui, ils aimeraient voir comme Premier ministre du Canada. Le parti conservateur avec chef, Stephen Harper est rendu, minoritaire cependant avec 37.6%. Au Québec ainsi qu’à Montréal, c’est le Bloc Québécois qui a reçu le plus de votes, soit respectivement 38.1% et 36, 2 %. Avant les élections, Stéphane Dion, le chef du Parti Libéral, avait déclaré qu’il ne démissionnerait pas si lui et on parti aurait à perdre. Selon les circonstances, tout le monde se demandait qu’en adviendrait-il de sa déclaration? Plusieurs disent que c’est demain que Mr. Dion va remettre sa démission…

Plus tôt dans l’année, soit en mai, lors de leur camp de formation, plusieurs nouveaux joueurs vedettes se sont faits remarqués en se démarquant du lot de joueurs agressifs se créant du fait, une place dans l’équipe.  Nous pouvions dès lors, attendre de l’équipe junior, une très belle saison.

Première semaine : Devils vs. Raiders

Les Devils se rendent à Châteauguay pour affronter les Raiders. L’équipe de Laval en sort gagnant avec un score de 24-0. 

Deuxième semaine : Devils vs. Panthers 

Après un trajet de pas moins de deux heures, l’équipe de Laval s’est rendu à Cumberland, en Ontario pour participer à leur deuxième partie. Dès leur arrivée à Cumberland, une pluie froide attendait nos diables. Une chance pour eux, ayant pratiqué toujours, ou presque sous la pluie, ces conditions ne leur ont pas fait de plis. Ils ont gardé leur fiche de points accordés vierge en finissant la partie 14-0. Cette victoire lavalloise n’a pas fait que des heureux. Effectivement, quelques joueurs des Panthers se seraient, en effet battu, entre eux à la fin de la partie… 

Troisième semaine : Devils vs. Pirates

Pour la troisième partie, nos Devils se sont rendu à Joliette, sous une faible pluie, pour rencontrer les Pirates. Du haut des estrades, j’ai pu apercevoir, la raclée qu’ont reçue les joueurs de Joliette. Malgré l’averse de pluie qui a accompagné nos joueurs, de nombreux partisans se sont tout de même montrés présents au rendez-vous hebdomadaire. Comme les deux dernières semaines, les Devils de Laval ont su usé de leur talent, sortant vainqueurs avec un score impressionnant de 65-07. 

Quatrième semaine : Devils vs. Stallions

Pour leur dernière partie en tant que visiteur, les Devils se sont rendu à St-Lazare, pour affronter la nouvelle équipe des Stallions. Même s’il s’agit de leur première année dans la ligue junior, l’équipe de St-Lazare ont donné une belle résistance à nos diables. Dès la première demie, leur joueur vedette Justin MacLean s’est blessé à la cheville et on a vu le rythme des Stallions diminuer. Les Devils ont su prendre avantage de la situation et gagne la partie 32-17.

Cinquième semaine : Devils vs. Monarx

Les Devils ont affronté les Monarx de la Rive Sud pour leur match d’ouverture au parc Cartier de Laval. En cette anniversaire d’un joueur, Erik Bergeron, les Devils ont su garder la cadence et gagne cette partie 33-6. À moins de deux minutes de la fin de la partie, un de nos diables, Simon Summerside, se blesse. Il a subit plusieurs fractures aux bras gauche et du même coup, met fin à sa saison. La partie se termine sur cette triste note, en voyant le blessé partir pour l’hôpital, se tordant de douleur.

Sixième semaine : Devils vs. Junior Riders 

Les Devils ont reçu cette semaine là, une des meilleures équipes de la ligue. Leur tenant tête jusqu’à la fin et mettant leurs forces et talents en union, ils n’ont pas su surmonter l’équipe d’Ottawa, s’inclinant ainsi 39-14. Le jour du match, soit le 4 octobre, les Devils ont vécu plus qu’une défaite. En effet, un de leurs joueurs, Paul Robert Boutin, porté disparu depuis le mois de juin dernier, est décédé. Chaque personne présente à la partie, a mis de côté la compétition pour garder une minute de silence pour le jeune défunt de 23 ans.

Septième semaine : Devils vs. Sooners 

Le journal The Gazette était présent pour assister à la partie opposant les Devils aux Sooners d’Ottawa. L’équipe d’Ottawa, présentement la meilleure de la ligue. Un article a été rédigé commentant la performance du quart-arrière Steve Lavallée et le rendement de l’équipe de Pont-Viau. Malgré la présence des médias, les Devils ont du s’incliner pour une deuxième fois, laissant le score 36-16. De plus, plusieurs de nos diables ont été blessés lors de cette partie. Pascal Drolet, linebacker blessé au genou, Simon Locas aussi linebacker qui a eu une sévère commotion cérébrale et autres ne seront pas présents pour la partie à venir.

Huitième semaine : Devils vs. Raiders

Lors de leur dernier match de saison régulière, les Devils ont reçu les Raiders de Châteauguay. Ayant beaucoup de blessés de la dernière partie, plusieurs diables ont du jouer both sides, soit à l’offensive et la défensive. Le manque de joueur et leur passivité ont failli leur coûter la victoire. Dans la première demie, Angelo Garofalo, porteur de ballon fit le seul touché des Devils. On peut facilement s’imaginer que lors de la mi-temps, les entraîneurs de nos diables ont vite mis les points sur les i et ont réveillé leurs joueurs, qui semblaient dormir. Quelques bons coups ont été faits lors de la deuxième demie. De beaux plaqués de la part de l’ancien quart-arrière Sébastien Gaudelli, des DB Erik Bergeron et Julien Nantel ainsi que de belles passes venant du jeune quart-arrière Steve Lavallée. Après une tentative de botté de placement qui heurta un des poteaux, Vincent Lauzon se reprend au dernier quart et détache les Devils de l’égalité leur accordant ainsi une sixième victoire.

Les playsoffs.

Les Devils présentement troisième de la ligue junior de football du Québec, se qualifiant pour les playsoffs. Ce samedi prochain, soit le 25 octobre au Parc Cartier, nos diables affronteront les Stallions de St-Lazare.

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À gauche : Sébastien Gaudelli, quart-arrière et à droite, Angelo Garofalo, porteur de ballon de l’équipe des Devils de Laval.